À l’heure de la crise du COVID-19, le monde scientifique cherche à maîtriser ce nouveau virus animal transmis de la chauve-souris au pangolin (?) puis à l’humain. Il a fait son apparition le 12 décembre 2019 en Chine, et, depuis, des millions de personnes vivent dans l’angoisse de le contracter et d’en mourir.
Il fait suite à trois autres coronavirus zoonotiques identifiés comme étant à l’origine d’épidémies à grande échelle au 21e siècle :
- en 2003, il y a eu le SRAS (syndrome respiratoire aigu sévère – le virus est passé de la chauve-souris à la civette et à l’humain)
- en 2012, est apparu le MERS (syndrome respiratoire du Moyen-Orient – le virus est passé de la chauve-souris au dromadaire et à l’humain)
- en 2017, l’industrie porcine a été frappée par le SADS (syndrome de diarrhée aiguë du porc — ce coronavirus avait été identifié pour la première fois en 2004, puis à nouveau en 2006 chez des chauves-souris.)
Dans un article s’adressant aux cliniciens, deux médecins insistent : Les interventions permettant le contrôle du COVID-19 « ne sont pas claires car il n’existe actuellement aucun vaccin, et l’efficacité des antiviraux n’est pas prouvée(1) . » Ils rappellent donc les mesures qui ont été efficaces lors de l’épidémie du SRAS. La consigne était de :
- Rester à la maison lorsqu’on est malade
- Se laver les mains soigneusement et fréquemment
- Respecter l’étiquette respiratoire – soit se couvrir la bouche et le nez dans le creux du coude pendant les éternuements et la toux.
L’OMS, à des recommandations semblables d’hygiène générale, ajoute l’obligation de bien cuire les viandes et les œufs – température au centre de 77°C pour les viandes et 74°C pour les œufs, et la désinfection des surfaces de préparation des viandes. En fait, toutes ces recommandations, en l’absence de traitements antiviraux pouvant cibler spécifiquement les coronavirus humains, ne sont que des soins de support. Et si on pensait à y ajouter le CHARBON SUPER ACTIVÉ ?
QU’EST-CE QUE LE CHARBON SUPER ACTIVÉ ?
Le charbon est un matériau naturel très poreux qui a une surface bien plus grande que toute autre nanoparticule ou microparticule connue de la science des matériaux. La carbonisation, à une très haute température en présence de vapeur, active tous les pores à la surface du charbon — d’où son qualificatif d’activé ou d’actif. Il possède alors d’étonnantes capacités d’épuration, de détoxication et de désinfection.
LE CHARBON SUPER ACTIVÉ : UNE PROPHYLAXIE ÉTONNANTE DES INFECTIONS VIRALES
Cela fait longtemps que la MÉDECINE VÉTÉRINAIRE a établi le pouvoir anti-infectieux du charbon actif : en fait, depuis 1930 la capacité du charbon d’adsorber les virus est confirmée. Le charbon super activé adsorbe les virions (particule infectieuse d’un virus), le virus de la fièvre aphteuse, de la variole du mouton, les rotavirus, les CORONAVIRUS, les entérovirus, et les poliovirus, entre autres (2) .
Il produits des effets antiviraux en se liant efficacement aux virus, ce qui limite ainsi leur entrée dans les cellules, et cela sans effets cytotoxiques (3) .
Plus récemment, des études ont démontré la capacité du charbon super activé de juguler les infections par le virus Herpes simplex HSV 1 (herpès oculaire) et HSV 2 (herpès génital), l’herpèsvirus de la maladie d’Aujeszky (pseudorage des chats et des chiens), et l’herpèsvirus bovin (4) .
Aujourd’hui, cette capacité du charbon d’inactiver les virus est largement utilisée dans le TRAITEMENT DES EAUX POTABLES. Le charbon sous forme de filtre débarrasse l’eau des microbes qui s’y trouvent souvent : virus de l’hépatite A et E, entérovirus, adénovirus, rotavirus et CORONAVIRUS (5) .
Une étude constamment citée et jamais démentie indique que le charbon super activé a une capacité d’adsorption « excellente » des rotavirus (99,89 %) et des CORONAVIRUS (99,99 %) (2) .
COMMENT LE COVID-19 S’ATTRAPE-T-IL ?
- Le Covid -19 est décrit comme étant un virus aéroporté par les gouttelettes de respiration en cas d’éternuements et de toux. Ces gouttelettes chargées de virus parviennent directement dans les muqueuses du nez, de la bouche ou des yeux des personnes à proximité. Ces minuscules gouttes infectées peuvent survivre quelques heures sur les mains ou les surfaces dures (rampes d’escalier roulant, poignées de portes, etc.) et atteindre nos différentes muqueuses quand on se touche les yeux, le nez, ou la bouche.
Il faut un contact à moins de 2 mètres pendant plus de 15 minutes avec une personne infectieuse pour être à son tour infecté. La période d’incubation du virus est 4 à 7 jours, mais des cas ont pris 1 à 14 jours d’incubation. - Par contre, le coronavirus est également un virus pouvant être présent dans les produits animaux, leur chair, leurs sous-produits, mais aussi leurs déjections (excréments, urine, salive). Il ne faut pas oublier que « les premiers patients qui ont été infectés (par le Covid- 19) ont acquis ces virus directement des animaux (6) ». C’est ce qui explique la recommandation de l’OMS de ne pas consommer des produits animaux peu ou pas cuits, incluant le lait et les œufs, car ces produits « présentent un risque important d’infection ».
- Une transmission fécale-orale de ce virus ne doit pas être ignorée.
Ces informations sont claires : une rigoureuse hygiène est nécessaire en tout temps, et en temps de crise, elle est absolument obligatoire.
ALORS COMMENT UTILISER LE CHARBON SUPER ACTIVÉ ?
- Par voie orale, le charbon super activé en poudre superfine décontamine le tube digestif de la bouche au rectum. Une prise quotidienne est une sage mesure de précaution.
- En irrigation nasale, le charbon super activé assainit les muqueuses du nez.
- En bains d’yeux, il les désinfecte.
- Le port d’un masque est une protection de première ligne.
Nous savons que le premier masque à gaz a été développé en 1915. Il a eu l’illustre réputation d’avoir fait face à la première guerre chimique, et permis aux Alliés de gagner la Première Guerre mondiale.
Pourquoi ?
Ce masque était un MASQUE AU CHARBON ACTIF.
Depuis, le charbon actif, sous forme de tissu de charbon actif, se retrouve dans les uniformes militaires de plusieurs armées pour la protection contre les guerres chimiques, biologiques et nucléaires. Mais aussi dans des masques garantis filtrer les molécules de pollution, les VIRUS (99,6 % en moyenne), les bactéries, et la pollution gazeuse (composés organiques volatils, ozone, benzathine, formaldéhyde) (7) .
Bien sûr, pour être vraiment efficace, un masque doit être bien ajusté et porté de manière conséquente.
ÊTES-VOUS SENSIBLE AU COVID-19 ?
Les données sur les patients atteints sont limitées, mais en se basant sur le SRAS et le MERS, on affirme déjà que la gravité du COVID-19 va correspondre fortement à l’âge, le sexe et l’état de santé général du patient. Sont susceptibles d’être les plus touchés (8) :
- Les hommes de 50 ans et plus
- Les individus souffrant de comorbidités : hypertension, diabète, problème de la fonction cardiaque et/ou rénale
- Les fumeurs, et les vapoteurs qui, eux aussi, asphyxient leurs poumons et les fragilisent dangereusement.
Ainsi qu’il s’agisse du COVID-19 ou de tout autre virus, la PRÉVENTION reste fondamentale : un style de vie caractérisé par une hygiène stricte, une alimentation saine largement végétale, et l’absence de dépendance au tabac et à l’alcool, favorisera certainement une meilleure résistance et protection contre les contaminations, les comorbidités, et la fragilisation de nos organes vitaux.
Et comme personne ne fait toujours absolument tout bien,
n’hésitez pas à avoir recours quotidiennement au CHARBON ACTIF et à ses infinies capacités de détoxication universellement reconnues et appréciées (9).
Où trouver du charbon végétal super activé ?
Pour en savoir plus :
Mon Petit Docteur
Danièle Starenkyj
A la découverte de l’usage thérapeutique du charbon végétal activé dans les empoisonnements, les intoxications, les infections, les toxicomanies, les désordres gastro-intestinaux, l’excès de cholestérol, l’insuffisance rénale chronique…
RÉFÉRENCES
1- Carlos del Rio, Preeti N. Malani, 2019 Novel Coronavirus – Important Information for Clinicians, JAMA, Publié en ligne le 5 février 2020.
2.Clark K.J., et coll., In Vitro Studies on the Use of Clay, Clay Minerals and Charcoal to Adsorb Bovine Rotavirus and Bovine Coronavirus, Vet Microbiol, 63, 2-4, 137-146, octobre 1998.
3- Hermans J.R., et coll., Optimization of a Sampling System for Recovery and Detection of Airborne Porcine Reproductive and Respiratory Syndrome Virus and Swine Influenza Virus, Appl Environ Microbiol, 72,7, 4811-4818, juillet 2006.
4- Tejabhiram Yadavalli et coll., Drug-encapsulated carbon (DECON): A novel platform for enhanced drug delivery, Sci Adv, 5,8, publié en ligne le 14 août 2019
5- Quelen Leticia Shimabuku, et coll., Water Treatment With Exceptional Virus Inactivation Using Activated Carbon Modified With Silver (AG) and Copper Oxide (CuO) Nanoparticles, Environ Technol, 38, 16, 2058-2069, août 2017.
6- Mark S. Lesney, 2019-nCoV: Just a Stop on the Zoonotic Highway, Medscape, 16 février 2020.
7- Cambridge Masks™
8- Gralinski L.E., Menachery V.D., Return of the Coronavirus: 2019-nCoV, Viruses, 12,2, 135, 2020.
9- Starenkyj D., Mon petit docteur, Orion.
©2020 DANIÈLE STARENKYJ
2 Commentaires
laila
Bonsoir
Le charbon végétal activé faisant le même travail que l’argile verte
Puis je commencer par une cure d’argile pour me reminéraliser?
Merci
Odile
Merci pour votre article sur le charbon.
Le monde entier devrait le savoir.
J’ai partagé cet article au maximum de mes contacts.Je connais le charbon depuis 30 ans grâce au livre « Mon Petit docteur »que je conseille à tous.
J’ai de nombreuses expériences avec lui.
J’ai conseillé à quelqu’un qui a eu le coronavirus de prendre du charbon, le lendemain il allait mieux et une semaine plus tard complément rétabli Il a retrouvé son odorat après 15 jours.
Mais en même temps, j’ai conseillé de ne prendre aucun paracétamol et de ne rien boire de glacé et de prendre de l’infusion de thym puisque c’est ce qu’il avait à sa disposition.
De même pour 3 autres personnes.
Si on disait aux peuples de la terre de prendre du charbon avant de sortir et en entrant en plus des autres conseils, je ne pense pas que l’on aurait besoin du confinement et on aurait évité cette mortalité dû au virus.